« – Mon général, quel est votre point de vue ?
– Le plus élevé ! C’est le moins encombré. »
Charles de Gaulle à René Mayer (mai 1945)
« En 1944, les Français étaient malheureux, maintenant ils sont mécontents. C’est un progrès. »
Charles de Gaulle (octobre 1945)
« Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour je ne manquerai pas de mourir ! »
Charles de Gaulle (février 1965)
« – Et comment va la France, général ?
– Très bien, madame. Elle nous enterrera tous. »
Charles de Gaulle à une jeune Anglaise (août 1940)
« – Mon général, ce qu’on aimerait, maintenant, c’est avoir le téléphone.
– Ah ! Vous en êtes donc là ! Je prends bonne note. Je vous téléphonerai. »
Charles de Gaulle à un maire d’un petit village du Jura (mai 1962)
« – Avez-vous songé, mon général, qu’il y a quatre ans, jour pour jour, les Allemands entraient dans Paris ?
– Eh bien, ils ont eu tort ! »
Charles de Gaulle au Colonel Hettier de Boislambert (juin 1944)
« – Bonjour monsieur le curé !
– Mon général, je suis un des gorilles.
– Alors bonjour, monsieur le gorille ! »
Charles de Gaulle un jour où il serrait des mains dans la foule sans avoir mis ses lunettes
« – Je crains de ne plus jamais revoir la France comme puissance mondiale.
– Je suis désolé d’apprendre que votre santé est si compromise ! »
Charles de Gaulle à un dirigeant étranger (1945)
« – Je souhaite que mes obsèques soient réduites au strict minimum.
– Qu’entendez-vous par ‘strict minimum’, mon général ?
– Moi. »
Charles de Gaulle
« – Savez-vous, Général, que ma famille est d’origine française !
– Eh bien, figurez-vous, madame, que la mienne aussi ! »
Charles de Gaulle à Jacqueline Kennedy (1961)
« Les grands hommes, monsieur, sont aussi cons que les autres, mais rien de grand ne peut être fait sans de grands hommes. »
Charles de Gaulle
« – Je suis du bois dont on fait les ministres.
– Eh bien, quand j’aurai besoin d’un ministère en bois, je penserai à vous. »
Charles de Gaulle à un fonctionnaire cherchant à intégrer son gouvernement (1965)
« – Mon Dieu ! Qu’est ce qu’on va faire de tous ces gosses !
– Eh bien, on ira envahir la Chine ! »
Charles de Gaulle à son secrétaire alors que des milliers d’enfants sont autour d’eux (avril 1959)
« Après ma mort, on dressera une grande croix de Lorraine sur la plus haute colline, derrière ma maison. Et comme il n’y a personne par là, personne ne la verra. Elle incitera les lapins à la résistance. »
Charles de Gaulle